top of page

Faire évoluer nos croyances face au défi climatique

C’est par un été pluvieux qu’est paru le dernier rapport du GIEC, et avec lui la synthèse destinée aux grands décideurs de ce monde. Pas de miracle, les projections sont toutes alarmantes, tout va plus vite que prévu, et dans toutes les zones du globe : acidification des océans, hausse du niveau de la mer, hausse des températures, davantage de risques de points de basculement (disparition de la forêt amazonienne ou de la calotte glaciaire antarctique), hausse de la fréquence des catastrophes naturelles… Avec des impacts potentiellement dramatiques à moyen et long terme.



En cause : des émissions de CO2 toujours plus fortes, un effondrement de la biodiversité et une inaction globale qui ne fait qu’augmenter les risques jour après jour.

Seul point positif : il est encore techniquement possible d’éviter le pire…


La dette entropoique est gigantesque. Malheureusement, elle n’est pas assez ancrée dans les esprits pour faire sortir les gens dans la rue, car nous avons perdu notre relation privilégiée avec la nature. La COP26 qui s’annonce va-t-elle enfin mettre un coup de pied dans la fourmilière ? Tant que nos croyances n’auront pas évolué, on peut en douter.


C'est ce qu'explique cet article paru dans les Echos, et passé entre les mains de Storytelling :




3 vues0 commentaire
bottom of page